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Whispeak : quand l’authentification par biométrie vocale allie facilité et sécurité

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Whispeak : quand l’authentification par biométrie vocale allie facilité et sécurité

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Whispeak propose une solution de biométrie vocale qui permet aux utilisateurs de s'authentifier avec leur voix, de manière simple et sécurisée. L’enjeu ici est d’allier facilité d’utilisation et confidentialité des données lorsqu’il s’agit de s’authentifier en ligne, et la voix est présentée comme une solution efficace.
  • Jean-François Kleinfinger, CEO de Whispeak, explique le choix de la voix. Celle-ci permet, selon lui, de répondre à un double dilemme : celui de l’authentification souvent trop longue lorsqu’on tombe sur un centre de contact vocal, et celui du mot de passe unique, qui peut s’avérer insuffisant, pour accéder à certains services (santé, fiscal, etc.).
La voix est le vecteur naturel d'interaction des êtres humains.

- Jean-François Kleinfinger, CEO (Whispeak)

  • Whispeak est avant tout une solution SaaS simple et accessible :
  • Premièrement, elle permet de coupler téléphonie et informatique : un appel permet de reconnaître et d’identifier les individus par leur voix puis de leur donner accès à des services (valider simplement des transactions en disant une phrase, par exemple).
     
  • Ensuite, Whispeak Wizard permet d'implémenter les fonctionnalités de l’application dans des systèmes d’information déjà existant (API), en rendant l'intégration et l’administration des applications plus simples.
     
  • Enfin, Whispeak fonctionne comme une application embarquée : badges avec signature vocale, signature sonore (interphone qui reconnaîtrait la voix), intégration dans des enceintes domestiques, par exemple.
  • La reconnaissance vocale pose la question du traitement des données et du respect de la vie privée. A ce sujet, Jean-François Kleinfinger se veut rassurant : l’application est "au service du citoyen, pour sécuriser sa présence digitale". Les données biométriques restent donc sous le contrôle de l’utilisateur. L’intelligence artificielle est utilisée pour traiter les données vocales (écouter une voix et la reconnaître). Le système est donc "entraîné" grâce à l’IA pour créer des moteurs de reconnaissance, de transcription du langage en texte et d’identification de la nature de la voix (détecter une voix imitée, une voix non humaine...). 
     
  • Pour être à la hauteur de ses ambitions et comme beaucoup de projets de cette envergure, Whispeak est intégré à un incubateur, Alacritée, qui lui a permis de lever 1,2 million d’euros en juin 2020. Jean-François Kleinfinger donne ainsi son retour d’expérience en encourageant les entrepreneurs français : "Vous n'êtes pas tout seul, nous ne sommes pas seuls quand on entreprend. On a en France beaucoup d'outils d'accompagnement [...] pour financer ces projets". Un message positif donc, dans un contexte difficile, mais où les opportunités restent nombreuses.
Il faut se rassembler dans les start-up studios, dans les incubateurs pour bénéficier des services et de l’expérience des uns et des autres.

- Jean-François Kleinfinger, CEO (Whispeak)

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