ONO : la COVID comme activateur de la mobilité verte
- Nos vies ont complètement changé depuis la pandémie surtout sur notre consommation et notre vie sociale. Certaines industries ont remarqué un grand changement au niveau du comportement des consommateurs. Notamment pour les restaurants, les personnes vont se diriger directement vers des plateformes de livraison. Le changement s’est aussi vu au niveau des modes de transports. Les voyageurs vont privilégier le transport individuel ou la mobilité douce, plutôt que les transports en commun, présentant plus de risques de contamination. Au niveau du retail, les consommateurs vont se diriger vers les sites de e-commerce. Le géant du web Amazon prévoit atteindre 70 milliards de dollars sur sa division d’épicerie en ligne d’ici 2023, 3 fois plus qu’en 2019.
- La pandémie a notamment eu des effets importants au niveau des infrastructures et des villes, comme Paris avec la mobilité douce. La France confirme son intention de faire du vélo le principal mode de transport une fois les restrictions assouplies. À Pékin, les systèmes de vélos en libre-service ont vu le nombre d'utilisateurs augmenter d'environ 150%. De plus, les sociétés de vélos en libre-service ont montré que les déplacements faisaient en moyenne plus de 3 kilomètres, ce qui était rare avant COVID-19, lorsque les déplacements plus longs étaient généralement effectués en voiture ou en transport en commun. De nombreux pays privilégient désormais la mobilité douce.
- De nouveaux modes de mobilité ont notamment vu le jour. "Il y a les moyens de transport traditionnels et ce qu’on a créé. Le ONO est un mode de livraison mais aussi un concept modulaire flexible qui permet non seulement la livraison de colis mais aussi des applications secondaires", conclut l'expert.
Retrouvez dès à présents l’ensemble des interventions du Sustainable Mobility Forum !